Sois sans crainte – Oser, Rencontrer, Espérer,

11 février 2010 : Journée Mondiale des Malades

Pour l’Eglise Catholique, le 11 février, fête de Notre Dame de Lourdes, est la journée mondiale des malades. Créée en 1992 par Jean-Paul II, cette journée nous invite à développer la solidarité des Chrétiens avec les personnes malades et les personnes handicapées. Elle encourage l’Eglise à s’engager de façon plus intense dans la Pastorale de la Santé : quelle présence auprès des malades ? Comment les accompagner ?

C’est un jour, aussi, où nous sommes plus particulièrement appelés à prier pour les personnes malades mais aussi pour ceux qui en prennent soin avec compétence et générosité.

« Le service de Charité que vous rendez est un service marial. Marie vous confie son sourire pour que vous deveniez vous-même, dans la fidélité à son Fils, source d’eau vive. Ce que vous faites, vous le faites au nom de l’Eglise dont Marie est l’image la plus pure. Puissiez-vous porter son sourire à tous. »
Extrait de l’homélie du Pape Benoît XVI prononcé lors de la messe pour les malades à Lourdes, le 15 septembre 2008

Propositions pour la Journée des Malades 2010

A l’approche de la journée mondiale des malades, l’équipe diocésaine de la Pastorale de la Santé propose aux équipes liturgiques de porter une attention particulière à ce service par l’un ou l’autre geste signifiant :

 Le Livre de la Parole porté par un membre d’une équipe en Pastorale Santé dans la procession d’ouverture.

 Pour la préparation des dons, les custodes apportées à l’autel par des personnes engagées dan la Pastorale de la Santé.

 Une proposition de prière universelle tournée vers le malade et ceux qui l’accompagnent : cliquez ici

 Envoi des personnes chargée de porter la communion aux malades à la fin de la célébration.

Et bien évidemment, toute autre initiative choisie par l’équipe liturgique.

Prière

Sois sans crainte et va vers tes frères

Alors que tu te crois seul avec tes soucis ou ta maladie,
beaucoup sont avec toi au service de la vie.
Des mains ouvertes te sont offertes :
mains qui s’élèvent, mains qui élèvent,
mains des médecins et des voisins qui prennent soin,
mains du coeur, mains de frères et soeurs,
et aussi mains du Seigneur.
Ecoute, il te dit :
malgré ton corps ou ton coeur endolori
affronte le monde ou la haute mer,
sois sans crainte et va vers tes frères,
car eux aussi, dans le tourbillon de la vie,
ont besoin de tendresse et d’amis.
Hubert Renard